Les PACIFIC COAST des "Rendez-Vous de La REINE"
HONDA TOUJOURS UN TEMPS D' AVANCE AVEC SA PACIFIC COAST
Cette machine n'a jamais eu le succès commercial escompté en France et pourtant elle est la solution un peu trop novatrice à l'époque pour les déplacements péri urbains et urbains
· Protection du pilote
· Carrosserie complète enveloppant cette machine
· Cales pieds spatule pour ne pas abîmer les semelles cuirs !!!!!!!!
· Coffre très volumineux
· Transmission cardan sans entretien
· Deux Cylindres en V de 800 CC refroidissement à eau ventilateur et radiateur
· Centre de gravité assez bas
Confère aujourd'hui la multitude de scooter qui ressemblent de plus en plus à des motocyclettes et des motocyclettes qui ressemblent de plus en plus à ces scooters
Les deux machines l'une 45 000 km ( 1990)en parfait état l'autre 85 000 km (1991) également en très bon état je roule avec cette dernière l'hiver elle est donc équipée ( pas sur les photos ) à l'ancienne tablier et manchons , pourquoi deux machines parce qu'en cas de chute même légère , comme une automobile , c'est la carrosserie qui trinque !!!
Donc une réserve de pièces !!!!!!!!!
Quelques photos des sœurs siamoises
Amicalement
JF
Véritables machines de collection des « Rendez-Vous de La REINE », 15.000 exemplaires furent produits, dont 1500 vendus en France.
Insuccès ?
Sortie à une époque ou dominaient les super sportives et super trails, Honda la présenta comme une "motomobile"... D'emblée, cette image à contre-courant signait la déconfiture commerciale de cette moto. Son allure de scooteur croisé à une moto lui valu d'être rebaptisée de gros scoot, de motocrotte, de baignoire, de bidet et très couramment de Tupperware; rien de très valorisant pour son propriétaire.
De plus, son prix, de l'ordre de 60.000 fr, (9000 euros de l'époque, environ 13.000€ d'aujourd'hui), la rendait peu compétitive. http://moto-gt.fr/dossier/387/honda-pc800-pacific-coast.html
HONDA PACIFIC COAST CLUB DE France http://honda.pacific.coast.free.fr/
Photo JF, les.rendezvousdelareine@orange.fr , merci Jean François.