Ancêtre écolo, la CGE Tudor, presque 80 années d'avance !

1938 Début du projet

1941, Grégoire achève un prototype de voiture électrique conçue avec la collaboration de la Compagnie Générale d’Electricité (CGE) et de la société de production d’accumulateurs Tudor (TUDOR).

Carrossée chez Hotchkiss, dans le sillage du dessin d’une Amilcar Compound sans calandre.

Bien avant le Corrida iLint le train du futur dévoilé récemment dévoilé par Alstom http://positivr.fr/corrida-ilint-train-alstom-allemagne-zero-emission-hydrogene/  , pour la CGE Tudor,  Paul Rapin adopte un moteur électrique à courant continu de 96 V pour 4 ch permettant la récupération d'énergie au freinage. Le moteur est installé en position centrale et est alimenté par 460 kilos de batteries.

200 exemplaires. Longueur 3,70m, hauteur 1,40m, 96 Volts, 24 éléments de batterie dans le coffre, et autant sous le capot avant.  970 kg sur la balance (dont 460 kg de batterie). Utilisation d’alliages légers à base d’aluminium, vitesse maximum 58 km/h.  Le moteur est disposé en position centrale en avant des roues arrière, il transmet toute sa puissance aux roues arrière.

Jean-Albert Grégoire, père de la traction avant https://sabix.revues.org/185 .

En septembre 1942, Jean-Albert Grégoire relie Paris à Tours, soit 225 km à 42,32 km/h de moyenne.

http://mini.43.free.fr/5018gregoire.html   et http://stubs-auto.fr/c-1/cge-tudor-1941-1944/  

Déjà un article sur le BLOG LES RENDEZ VOUS DE LA REINE en janvier 2012 http://www.lesrendezvousdelareine.com/article-cge-tudor-gregoire-et-monoplaces-electriques-98217882.html

PHOTO Yves Boireau les.rendezvousdelareine@orange.fr